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Voici les compte-rendus des deux derniers Comités techniques de l'Université Clermont Auvergne qui se sont tenus en décembre 2020.
Les élus FSU sont intervenus en particulier sur la mise en place des nouveaux critères pour les promotions des BIATSS suite à la liquidation des prérogatives des CAP dans ce domaine ; sur les montants de la Primes d'encadrement doctoral et de recherche suite à la création de l'Institut National Polytechnique ; la campagne d'emplois BIATSS 2021 et les heures supplémentaires des cadres A BIATSS.
Dans la période actuelle marquée par la généralisation du télétravail, menaçant les collectifs de travail et solidarités, nous estimons encore plus indispensable notre travail de défense des agents et de compte-rendu de nos mandats.
Nous vous souhaitons tous de bonnes fêtes
Alors que la loi l’impose et que la déclinaison de plans d’action relatifs à̀ l’égalité́ professionnelle dans la fonction publique est rendue obligatoire dans chaque ministère avant le 31 décembre 2020, le dossier concernant l’égalité professionnelle et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles est mis en sommeil.
Les ministères de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur ont préféré avancer sur d’autres dossiers comme la loi de programmation de la recherche ou la mise en œuvre de la loi de transformation de la fonction publique, alors qu’il n’y avait aucune urgence et qu’elles sont rejetées par une grande partie des personnels.
Les choix politiques opérés révèlent que l'égalité professionnelle n'est pas la priorité de ces 2 ministres. C'est un très mauvais signal envoyé aux professions et aux femmes en particulier dans les deux ministères concernés que sont le MEN et MESRI.
Travailler dans l’urgence sur des axes pouvant constituer de véritables leviers au service de l’égalité professionnelle et de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles (VSS), quand la loi de transformation de la fonction publique, qui introduit des éléments contraignants en matière d’égalité professionnelle, affaiblit « en même temps » les instances où peut s’exercer réellement le contrôle de leur mise en application (suppression des Commissions Administratives Paritaires et affaiblissement des CHSCT) est incohérent et réduit en pratique les possibilités d’exercice du droit de regard sur les inégalités et les violences sexistes et sexuelles ?
Comment ne pas relever la même incohérence alors que la loi de programmation de la recherche vient d’être votée et que nombre d’interventions et de rapports, dont ceux du Haut Conseil à l’Égalité (HCE) et celui du Conseil Économique Social et environnemental (CESE) ont abouti à des conclusions convergentes sur le fait que la loi de programmation de la recherche votée par le Sénat aggravera la situation des femmes dans l’ESR ?
Comment ne pas dénoncer l'hypocrisie du ministère de l'éducation nationale qui n'a toujours pas proposé concrètement de loi de programmation pour financer une hypothétique revalorisation salariale et qui n'évoque aucune des mesures de rattrapage salarial pour les femmes dans les instances de dialogue social.
Concernant les VSS, il est urgent de dépasser la seule mise en place des cellules d’écoutes pour aller vers leur fonctionnement effectif. La FSU rappelle la nécessité d’une formation solide des personnels de ces cellules et d’un suivi qualitatif de ces dispositifs. Les victimes doivent être visibles et intégrées dans ce plan sous peine de réduire les cellules d’écoute à des coquilles vides.
Il doit être rappelé aux personnels d’encadrement leur obligation de transmettre tout signalement de VSS et d’assurer en la matière leurs obligations de protection des agents.
Les conventions avec les associations professionnelles compétentes dans le domaine doivent se multiplier rapidement sur l’ensemble des établissements et académies pour rattraper le temps perdu. L’impunité des agresseurs et la solitude des victimes doivent cesser. Ces deux ministères doivent maintenant mettre en pratique le principe de « tolérance zéro » comme l'exige le protocole d'accord dans la fonction publique.
L'axe 3 de l'accord est d'ailleurs emblématique du manque d'ambition politique. Aucune mesure de résorption des écarts de rémunération n'est mentionnée dans le projet de plan d'actions alors que les femmes perçoivent toujours des salaires inférieurs de 19% par rapport à ceux des hommes et 13% à temps de travail équivalent.
La FSU souligne la nécessité d’identifier clairement les moyens consacrés à leur mise en œuvre, sans lesquels le plan restera lettre morte. La FSU déplore que les outils de diagnostic, comme celui consacré au calcul des écarts de rémunération, soient arrivés tardivement.
La mise en œuvre des politiques d’égalité est un droit pour toutes et tous et un devoir pour le législateur. En conséquence, les moyens alloués pour leur mise en œuvre doivent être effectifs et ne sauraient être envisagés sous la forme de dotations dépendant le plus souvent d’appels à projet comme c’est le cas pour les établissements du MESRI, ou sous la forme de primes ou d’indemnités adossées à des missions ou du travail supplémentaires qui ne concernent pas tous les personnels et qui sont des dispositifs de discrimination faites aux femmes.
De la même manière, l’accord prévoit des incitations et des sanctions pour les établissements qui ne le mettraient pas en place. Or, cette dimension essentielle est absente des documents étudiés et n’a été évoquée que de manière allusive. La FSU pose donc la question de l’intégration de ces sanctions ou des systèmes de contrainte dans le cadre des lignes directrices de gestion ou des dialogues stratégiques de gestion désormais mis en place entre les établissements et les rectorats.
Pour la FSU, l’égalité n’est pas une option et il est plus que temps de passer des discours aux actes.
La participation de la FSU aux ateliers de Grenelle se solde par le constat de l'impossibilité de faire avancer des propositions du fait même du dispositif choisi : il n'était pas question d'une concertation, mais bien d'une opération de communication sur des visions déjà arrêtées et peu ouvertes au dialogue. La parole des personnels au travers de celle de leurs représentants syndicaux est peu écoutée, submergée par celles "d'experts" soigneusement choisis par le ministère, dont certains n'ont pour seule expérience de l'école que de l'avoir fréquentée durant leur jeunesse, assurés pourtant de détenir les solutions malgré leur méconnaissance évidente du système scolaire et de ses réalités.
Le colloque du 1er décembre a offert une démonstration inquiétante de partialité et d’absence du « regard croisé » annoncé par le ministère. Dans une période où la confiance des enseignant-es à l’égard du ministère est largement éprouvée, comme l’a à nouveau montré l’enquête d’opinion IPSOS-FSU, le Grenelle de l’éducation continue à creuser l’écart entre les intentions ministérielles et les attentes réelles des personnels, tant sur le plan du métier que sur celui des rémunérations.
C'est pourquoi la FSU et ses syndicats nationaux ont décidé de quitter ces discussions.
Les Lilas, le 03 décembre 2020
La nouvelle note de gestion des carrières des BIATSS vient de paraitre.
Vous y trouverez notamment les changements inclus par la loi de "transformation/destruction" de la Fonction Publique sur les mutations, promotions et avancements (Lignes Directives de Gestions). Ces lignes directives font actuellement l'objet de groupes de travail où le SNASUB-FSU défend l'utilisation de barêmes transparents et objectifs pour un traitement équitable de tous les candidats. La suppression des Commissions Paritaires pour les mutations, promotions et avancements empêche désormais le contrôle par les représentants du personnel des choix de l'administration, laissant toute place au favoritisme et à l'arbitraire !
Retrouvons-nous samedi prochain 5 décembre à 15h sur la place de Jaude pour exiger l’abrogation de cette loi.
Comme cela avait été annoncé il y a plusieurs mois déjà, le gouvernement a fait voter sa loi « sécurité globale ». Cette loi prévoit des mesures qui restreignent gravement les libertés publiques et notamment le droit à la vie privée et la liberté d’information, sans offrir aucune garantie supplémentaire contre le terrorisme, empêchant de fait toute dénonciation de dérives et violences policières.
La FSU, en accord avec les associations de défense des droits de l’Homme et de la liberté de la presse ainsi que la Défenseuse des droits, dénonce de graves dangers pour le respect de la vie privée, la liberté d’information et la liberté d’expression garantis par la Constitution. Des principes que Samuel Paty, notre collègue assassiné a justement payés de sa vie, et qu’il serait indigne de bafouer ainsi.
Les policiers municipaux pourront consulter les images de vidéoprotection – alors même qu’ils ne peuvent enquêter sur des actes terroristes ; les images des caméras piétons des policiers pourront être exploitées en temps réel, sans objectif explicite, mais le risque est patent qu’elles servent notamment à la reconnaissance faciale des manifestant-es et des passant-es, en lien avec les données enregistrées par la police dans ses divers fichiers.
Enfin, l’utilisation de drones permettra une surveillance très étendue et particulièrement intrusive, contribuant à la collecte massive et indistincte de données à caractère personnel.
Le gouvernement entend ainsi restreindre, voire interdire la diffusion d’images de policiers dans l’exercice de leurs fonctions, y compris par la presse et même en l’absence d’intention malveillante envers les fonctionnaires de police. Cela entre sinistrement en résonance avec la logique confrontationnelle en matière de maintien de l’ordre qui prévaut depuis plusieurs années et la montée en puissance des violences policières. S’il est légitime de vouloir protéger l’identité des fonctionnaires de police en dehors de leurs fonctions, dénoncer les violences de certains individus est un droit.
Mais qu’y a-t-il donc à cacher ? Les images de violences policières font mauvais effet, et sont plus difficiles à nier pour un gouvernement qui a théorisé une pratique violente de maintien de l’ordre, décriée sur le plan international. L’action des forces de sécurité est par nature publique, et la publication d’images relatives aux interventions de police est légitime et nécessaire au fonctionnement démocratique, comme à l’exercice de ses propres missions de contrôle du comportement des forces de sécurité. Pour la FSU, une police républicaine au service de la population ne doit rien avoir à cacher, et le droit à l’information doit être respecté.
Une société dominée par le répressif et l’arbitraire s’appuyant sur le contrôle, la surveillance des populations, de surcroît par le fantasme de nouvelles technologies salvatrices mène à l’impasse. Au contraire, et plus fortement encore aujourd’hui, c’est l’exigence démocratique, corollaire d’apaisement, qui doit prévaloir et c‘est à l’amélioration des conditions de vie, à la résorption des inégalités, à la fin des discriminations, au renforcement et à l’accès aux droits sociaux, à l’éducation, à la culture…qu’il faut s’attacher.
Retrouvons-nous samedi prochain 5 décembre à 15h sur la place de Jaude pour exiger l’abrogation de cette loi.
Télécharger l'attestation de deplacement derogatoire pour la manifestation
Un rassemblement a eu lieu le 25/11/20 à 18h pour la journée internationale de luttes contre les violences sexistes et sexuelles.
Voici le guide FSU de lutte contre les violences faites aux femmes
Sommaire :
- Crise sanitaire, service public et agents publics
- Contre la barbarie, ne rien en rabattre sur la défense de la liberté et des droits démocratiques et sociaux
- Actu par secteur : Etablissements Scolaires / Services / Enseignement Supérieur
- Défendre des carrières revalorisées et l’égalité de traitement
- Renforcer notre activité syndicale : élargir et former nos équipes militantes !
Respect des garanties et préconisations sanitaires !
Respect de la santé et des droits des personnels et des usagers !
Grève sanitaire mardi 10 novembre
Établissements scolaires, services académiques, épidémie, reconfinement et accueil des publics...
Depuis deux mois maintenant, le gouvernement cherche à résoudre la contradiction entre la poursuite de l'activité et la nécessité de prendre des mesures de santé publique pour tenter de maîtriser l'épidémie de coronavirus.
Force est de constater qu'il n'y arrive pas ! Et pour cause, il rechigne à mettre les moyens. Son plan de relance pour "l'économie" soutient surtout les trésoreries des grandes entreprises avant les salariés et les services publics.
Pourtant, les besoins sont criants !
En plus des difficultés à mettre en œuvre les préconisations sanitaires (acheminement des équipements de protection individuelle, adaptation des postes de travail pour respecter la distanciation physique, organisation du télétravail partiel ou total, horaires décalés...), le ministère n'a pas fait le choix des moyens nécessaires en créant les postes nécessaires au service public d'éducation, aussi bien dans les établissements scolaires que dans son administration, pour faire face à la crise sanitaire et assurer durablement la continuité de l'activité.
Il est inacceptable de se contenter de garanties sanitaires dont la mise en œuvre est "optionnelle" car "dans la mesure du possible".
Cette semaine, dans les établissements et dans nombre de services, c'est surtout la pagaille qui s'est installée. Inacceptable !
Sur proposition des syndicats de la FSU de l'éducation nationale, dont le SNASUB-FSU, une intersyndicale (FSU, FNEC-FP-FO, CGT Educ’action, SNALC, SUD Education, SNCL-FAEN) appelle l'ensemble des personnels, titulaires et contractuels, à faire grève le mardi 10 novembre partout où les conditions sanitaires nécessaires à la poursuite de l'activité et à la préservation de la santé des personnels et des élèves ne seraient pas réunies.
Le ministre a annoncé des premières mesures pour les lycées. C'est le résultat de l'action syndicale, constante, depuis le début de l'année scolaire. Il n’y a plus de temps à perdre !
L’éducation nationale et ses personnels, notamment les personnels administratifs et ITRF, ne doivent pas être les grands oubliés du reconfinement.
Le ministre et le gouvernement portent déjà une lourde responsabilité dans la situation actuelle en n’ayant pas pris les bonnes mesures au bon moment. Si les écoles, collèges, lycées ou services devaient fermer, ils en porteraient l’entière responsabilité.
En cas de difficulté ou de question sur les garanties sanitaires ou sur vos droits relatifs à la santé et à la sécurité au travail :
prenez contact avec votre section académique du SNASUB-FSU :
snasub.fsu.clermont-ferrand@snasub.fr ; 06 77 68 57 24
La Foire aux Questions (FAQ) de la DGAFP a été mise à jour le 2 novembre.
Elle évoque notamment
- le télétravail
- les justificatifs de déplacement
- la gestion des cas-contact
- la garde d'enfant
- ...etc
Voilà la motion de la commission nationale du Snasub expliquant pourquoi la signature de ce protocole par plusieurs organisations constitue un point d'appui majeur au gouvernement pour faire adopter et mettre en oeuvre la loi de programmation de la recherche (LPR), un big bang pour les conditions de financement des établissements, des rémunérations, des conditions travail et de recrutement des personnels du Sup et du Supérieur.
- Ce protocole acte des progressions honteuse des indemnités d'une minorité des ITRF (10 € en moyenne), laissant par ailleur sur le carreau la totalité des agents des filières AENES, Bibliothèques, et la grande majorité des ITRF.
- Il acte la généralisation du recours au Complément indemnitaire annuel, la prime à la performance que nous avons à l'UCA toujours combattu.
- Il acte des repyramidages qui ne concernent que certaines BAP scientifiques et de façon beaucoup trop insuffisante.
- Il acte le recrutement d'une partie des enseignants chercheurs sous forme non statutaire via les contrats tenure track
- Il acte surtout la mise en place de la LPR dont il est partie prenante dans sa dimension budgétaire.
Le SNASUB rejette ce protocole ; il défend l'ensemble des filières du SUP, l'ensemble des BAP ITRF et refusera toujours de cautionner des politiques d'individualisation des rémunérations et carrières, des politiques de mise en concurrence des agents et établissements ou laboratoires.
Voici le tract intersyndical dénonçant les conditions de travail des BIATSS à l'Université Clermont Auvergne :
tract inter-syndicale BIATSS.pdf
Pour protester contre la dégradation de nos conditions de travail et contre la loi LPR :
Rassemblement le mardi 13 octobre à 12h DEVANT LA PRÉSIDENCE DE L’UCA, 49 boulevard François Mitterrand
Cette CPE était la dernière servant de pré-CAP. En effet, suite à la promulgation de la loi dite de « transformation de la fonction publique », les CAP et les CPE perdent totalement leurs prérogatives en matière d’avis et de contrôle sur les promotions et les mutations. A partir du 1er janvier 2021 tout pouvoir sera donné à la hiérarchie pour choisir parmi les agents promouvables ou ceux demandant à muter.
Ordre du jour :
- Avenir CPE
- Affectations suite à promotions et concours
- Résultats Tableau d’avancement
- Titularisations
- Mutations entrantes
- Questions diverses : devenir des supports de poste ; irrégularités sur les dossiers d'avancement des collègues de la filière bibliothèque hors SCD
Lettre des élus FSU CT UCA n°28.pdf
Ordre du jour :
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- Informations. Reprise des activités.
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- Evolution du socle indemnitaire des personnels BIATSS.
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- Prolongation des contrats doctoraux UCA suite à la crise du Covid19.
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- Procédure de cédéisation des enseignants.
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- Cadrage du dispositif du référentiel de l’établissement
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- Règles d’attribution des primes de charges administratives aux personnels enseignants-chercheurs et enseignants.
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- Procédure d’intéressement sur la propriété intellectuelle
Lettre des élus FSU CT UCA n°29.pdf
Ordre du jour :
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- Relevé des points traités en CT en lien avec la situation sanitaire.
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- Modification du cadrage des services d’enseignement et des heures complémentaires.
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- Campagne d’emplois 2020-2021.
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- Bilan social.
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- Prime COVID.
Vous trouverez sur le site SNES-FSU 63, le compte-rendu du Comité Technique Académique :
Ce CTA traitait de l’augmentation de l’IFSE pour les personnels infirmiers et assistants sociaux. La FSU prend acte positivement de la revalorisation substantielle de l’indemnité IFSE pour les AS de notre académie, qui étaient rémunérés bien en dessous de la moyenne nationale. Nous regrettons néanmoins que cette revalorisation se fasse par le biais de l’indemnitaire. La FSU rappelle son attachement à une revalorisation indiciaire plutôt qu’indemnitaire et à une reconstruction des grilles pour tous les personnels de la Fonction Publique.
Extrait de la déclaration FSU : Lire la déclaration
"Affirmer comme le ministre de l’Education que la rentrée est « joyeuse et sereine » est au mieux le signe d’une méconnaissance totale de la réalité du terrain, au pire l’affichage d’un grand mépris des personnels !"
La FSU est intervenue de manière plus générale sur le contexte très particulier de la rentrée scolaire.
Dans le premier degré sur :
- la reventilation des postes entre départements
- les maîtres E
- la formation constellaire
Dans le second degré sur :
- les réformes
- les nouvelles suppressions de postes et l’augmentation des HSA
- les CPE et les Psy-EN
Sur les conditions de rentrée dans les établissements, le manque d’informations sur la situation sanitaire et la grande fatigue des personnels.
Sur la revalorisation des personnels infirmiers et assistants sociaux
La FSU est intervenue également sur les sujets suivants : voir compte-rendu et questions diverses
- les E3C1
- les CPGE
- les UPE2A (indemnité de PP)
- l’entretien de titularisation des stagiaires
- l’Education prioritaire
Avis FSU : CPE, travail présentiel / distanciel, FLE
Pour tout savoir sur les règles de temps de travail applicables aux personnels de l'Education Nationale, consultez le Bulletin Officiel du 7 février 2002, numéro spécial "AMÉNAGEMENT ET RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL DES PERSONNELS IATOSS ET D’ENCADREMENT"
Mise à jour le 12 septembre 2020, voici les consignes de la Direction Générale de l'Administration et de la Fonction Publique à propos des thèmes suivants :
- port du masque
- personnes vulnérables
- cas contact
- dialogue social
- télétravail
- garde d'enfant
La loi de transformation de la fonction publique, censée réduire les inégalités femme-homme, prévoit dans un futur décret d'application, de réduire le nombre de jours de congés pour enfant malade à 3 jours au lieu de 6 jours actuellement.
La FSU dénonce ce nouveau recul des droits et l'hypocrisie du gouvernement.
En savoir plus dans le communiqué ci-dessous :
De nombreux syndicats dont la FSU appellent à faire grève demain mardi 16 juin et à manifester pour soutenir les soignants !
Rendez-vous devant l'ARS de Clermont (60 avenue de l'Union Soviétique) à 11h.
Après avoir applaudi, venez manifester pour que vive l'hôpital public !
Pour des raisons sanitaires, le port du masque est obligatoire durant ce rassemblement.
Plus d'information sur cet appel sur le site de la FSU.
La durée limitée et imposée de ce CTA a empêché tout débat, n’a pas permis d’avoir toutes les précisions que les personnels étaient en droit d’attendre de ce que le rectorat appelle le « dialogue social ». Ni la forme, ni l’esprit de cette instance n’ont été respectées !
Participez au 1er Mai dématérialisé : Ce vendredi 1er mai 2020, c’est la journée internationale des luttes pour les droits des travailleurs et des travailleuses ! Même confiné·e·s, nous restons mobilisé·e·s pour défendre nos conquis sociaux !
Depuis bientôt 3 ans, Macron s’attelle à détruire un à un nos droits durement conquis. A chaque réforme, ce sont les plus précaires qui trinquent au profit des plus riches. Les droits des travailleurs et des travailleuses ne cessent de reculer et notre droit à une vie digne se voit sacrifié sur l’autel de l’économie libérale. Même confiné·e·s, nous n’avons pas oublié la réforme des retraites et nous exigeons son retrait, parce qu’elle ne fera qu’accentuer les inégalités sociales ! Aujourd’hui, faute de protection suffisante, la santé des travailleurs et des travailleuses est, une fois de plus, est mise en danger. De plus, profitant de l’état d’urgence sanitaire, Macron a fait passer par ordonnances d’énièmes reculs sur le droit du travail !
Face à cette précarisation organisée de la société, nous ne baissons pas la tête ! Parce que ce vendredi 1er mai 2020 restera la journée internationale des luttes pour les droits des travailleurs et des travailleuses, l’intersyndicale du Puy-de-Dôme appelle à une mobilisation via les réseaux sociaux : Toute la journée dès 10H, tweetons, publions avec le #1erMai, partageons massivement les visuels intersyndicaux publiés sur cette page ainsi que sur les autres réseaux sociaux !
Nos droits ne sont pas à confiner !
En savoir plus sur le site FSU 63
Vous trouverez ici :
https://fsu.fr/petition-lapres-covid-19-revalorisez-les-emplois-feminises/
une pétition dont Sigrid Gérardin et Benoît Teste sont les "premiers signataires" pour la FSU, merci de la signer et la relayer massivement.
Vous trouverez sur le site FSU63 le compte-rendu du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail académique (CHSCTA) qui a eu lieu en visioconférence le 16 avril 2020 :
https://fsu63.fsu.fr/chscta-du-jeudi-16-avril-2020-en-visio/
Merci de signer la pétition de soutien à Anthony Smith, inspecteur du travail mis à pied par la ministre Pénicaud :
https://www.change.org/p/muriel-p%C3%A9nicaud-abandon-des-poursuites-contre-anthony-smith
Vous trouverez ci-dessous le compte-rendu de la CPE filière Bibliothèque du 24 avril 2020 par vos élus SNASUB-FSU
Ordre du jour :
- Listes d'aptitude
- Demandes de mobilités sortantes
Cette Commission paritaire d’établissement (CPE) était doublement exceptionnelle.
D’une part, elle s’est tenue en visioconférence.
D’autre part et surtout, après 20 ans de fonctionnement, c’était la dernière CPE à pouvoir émettre un avis sur un élément de carrière aussi important que la promotion des agents.
La loi de transformation de la fonction publique promulguée le 6 août 2019 a profondément modifié les compétences des CAP qui dorénavant n’ont plus aucun droit de contrôle ni d’avis sur les mutations, sur les promotions de grades ou de corps. Par conséquence, les CPE perdent également ces compétences.
Au travers d'ordonnances, le gouvernement a adopté un certain nombre de nouvelles dispositions concernant les agent.e.s de la Fonction publique qu'il a officialisées hier après-midi. Pour nos organisations syndicales, ces mesures sont très loin d'être à la hauteur des enjeux. Pire, elles comportent d'inacceptables et injustes reculs.
Des primes vont donc être versées pour reconnaitre l'engagement des salarié.e.s des trois versants, plafonnées selon les cas à 500, 1000 ou 1500 euros.
Ce dispositif appelle plusieurs objections car, s'il ne s'agit évidemment pas de prétendre que ces sommes sont négligeables ou à rejeter, il est loin de constituer la réponse adéquate et il va susciter des inégalités inadmissibles. D'abord, nous tenons à rappeler que, pour nous, la priorité absolue reste la santé des personnels et celle de leurs proches. Or, encore aujourd'hui, bien des agent.e.s travaillent toujours sans les moyens de protection indispensables. En dépit de nos sollicitations réitérées, le secrétaire d'Etat Olivier Dussopt n'apporte pas les éléments nécessaires de clarification. Des primes, même majorées, n'empêchent pas de tomber malade.
Ensuite, de très nombreux agent.e.s – vraisemblablement une majorité – seront exclus de ce dispositif. Pour celles et ceux qui la percevront, des taux différents seront pratiqués selon des critères contestables et sujets à interprétations variables et aléatoires. Cela ne va pas manquer de se traduire par des pratiques clientélistes, générant des clivages, tout l'inverse dont nous avons besoin dans la période actuelle.
Enfin, les femmes, notoirement discriminées dans le versement des primes, risquent fort de l'être une fois de plus, notamment parce que ce sont elles très majoritairement qui se retrouvent en position d'ASA pour la garde des enfants. C'est pourquoi, nos organisations syndicales affirment de nouveau que l'urgence est à l'ouverture d'une véritable négociation salariale. Celle-ci, qui doit intervenir au plus tard dans le mois de juin, doit porter sur le dégel sans délai du point d'indice et des mesures générales actées dans le budget 2021. Seules de telles mesures pérennes et transversales sont de nature à apporter la juste reconnaissance salariale de l'engagement et des qualifications des personnels.
S'agissant du volet sur les congés et les jours de RTT, les dispositions arrêtées sont insupportables et iniques. Subissant comme tant d'autres les graves et hautement contraignants effets de la crise sanitaire, des centaines de milliers d'agent.e.s vont se voir imposer – perdre pour parler plus clairement – jusqu'à 10 jours de congés et de RTT. Que faut-il en déduire ? Toutes celles et ceux placé.e.s en ASA auraient moins le sens de l'intérêt général que les autres ? Seraient-elles ou seraient-ils dans des villégiatures confortables profitant de l'aubaine de plusieurs semaines de vacances dorées ?
Nos organisations syndicales condamnent avec la plus grande fermeté ces mesures régressives. Elles appellent à tout mettre en oeuvre pour s'y opposer. Elles tiennent de nouveau à souligner que ni les salarié.e.s du public ni celles et ceux du privé n'ont à payer sur leurs conquêtes sociales les conséquences d'une crise sanitaire qu'elles et ils subissent de plein fouet, conséquences notoirement aggravées par des années de politiques d'austérité, d'argent-roi et de démantèlement des services publics.
Louer à longueur de médias et de discours la main sur le coeur, les « héros du quotidien » que sont les agent.e.s de la Fonction publique, saluer leur engagement sans faille, très bien. Mais, lorsque, dans le même temps, les mesures coercitives à leur endroit se multiplient (déni de l'exercice du droit de retrait, menaces de sanctions allant jusqu'au licenciement, graves manques de moyens pour assurer leur protection et, maintenant, attaques contre les congés et les RTT), on mesure mieux le double langage de ceux qui nous gouvernent.
Ne parlons même pas du dialogue social dont Président, Premier ministre et ministres nous rebattent les oreilles : les annonces médiatiques d'Edouard Philippe d'hier après-midi ont été préparées par une annonce téléphonique la veille au soir par Olivier Dussopt !
Les organisations syndicales CGT FO FSU Solidaires et FAFP de la Fonction publique continueront leur combat pour une juste reconnaissance de l'engagement des agent.e .s, le renforcement des services publics et de leurs moyens et toutes les mesures indispensables pour que le jour d'après ne permettent plus les graves errements d'hier et d'aujourd'hui.
Paris, le 16 avril 2020
Vous trouverez via ce lien le compte-rendu du CTA qui s'est tenu le 6 avril 2020 en visio-conférence : https://clermont.snes.edu/CTA-du-6-avril-le-rectorat-maintient-les-suppressions-annoncees.html
Vous y trouverez la déclaration FSU, des analyses, les réponses aux questions diverses posées ainsi que les avis FSU-FO soumis au vote.
Le Comité Technique s'est tenu exceptionnellement par visio-conférence ce jeudi 2 avril 2020, au regard des circonstances liées à la crise sanitaire du Covid-19.
Principaux points abordés et interventions de la FSU :
- Point sur les agents en télétravail, en présentiel sur site ou en Autorisation spéciale d'Absence.
- Situation concernant les droits à congés durant la période de confinement et au-delà.
- maintien des rémunérations de l'ensemble des agents.
- Continuité pédagogique
- Calendrier de mise en place de la nouvelle offre de formations.
Nous invitons les agents ayant des questions concernant leurs droits à congés ou leur situation réglementaire actuelle (ASA, télétravail, présentiel, continuité pédagogique, etc.) à nous contacter.
Malgré la crise sanitaire grave liée au coronavirus qui frappe le pays, le SNASUB-FSU et ses représentant.es vous accompagnent tout au long du processus de votre demande de mutation interacadémique.
Pour les collègues attaché-es d'administration (AAE) et secrétaires administratifs (SAENES)
Depuis ce jeudi 19 mars 2020, les collègues SAENES et AAE ayant saisi et confirmé leur demande de mutation interacadémique pour la rentrée prochaine peuvent consulter sur AMIA les caractéristiques retenues par la DGRH, notamment les critères de priorités légales et les éléments d'ancienneté.
Si vous avez formulé une demande de mutation, vous avez la possibilité de faire corriger d'éventuelles erreurs commises dans la prise en compte de votre situation jusqu'au jeudi 26 mars inclus.
Ces demandes de correction seront examinées par la DGRH jusqu'au 2 avril.
Le résultat de votre demande de mutation sera connu le vendredi 10 avril prochain.
Pour toute question ou demande de renseignement :
1- Téléchargez notre dossier spécial "Mutations inter 2020" ;
2- Contactez nos commissaires paritaires nationaux : coordonnées en page 2 du dossier susnommé ;
3- Adressez-nous votre fiche de suivi syndical
(pour la fiche de suivi syndicale concernant les mutations sur postes profilés, cliquez ici).
Pour les collègues adjoint-es administratif-ves (ADJAENES) :
La préinscription se terminait le jeudi 19 mars 2020.
Si vous avez rencontré des difficultés pour formuler votre demande sur AMIA, rapprochez-vous sans délai des représentant-es du SNASUB-FSU (coordonnées en page 2 du dossier spécial 'Mutations inter 2020") : nous interviendrons rapidement autant que nécessaire !
Dans tous les cas, adressez-nous votre fiche de suivi syndical.
Et rendez-vous pour la prochaine phase, pour les mouvements intra-académiques des académies demandées : n'hésitez pas à contacter nos équipes syndicales dans les académies.
Alors que le gouvernement vient de proclamer l'état d'urgence sanitaire, texte qui, au nom du combat contre le virus, s'attaque à des acquis sociaux essentiels (temps de travail, droit aux congés,...), 18 responsables d'organisations syndicales et associatives, dont Benoit Teste, Secrétaire Général de la FSU, ont publié sur france-info une tribune tribune collective sur les urgences sanitaires, sociales et écologiques, intitulée : Plus jamais ça ! Préparons le 'jour d'après" pour un futur écologique, féministe et social.
Cette note de la DGAFP publiée le 26 mars 2020, met en lumière la réalité de la politique salariale pour la Fonction Publique du gouvernement (décalage de PPCR + gel de la valeur du point d'indice + rétablissement du jour de carence) :
En 2018, le salaire net moyen dans la fonction publique baisse de 1,0 % en euros constants
Pour mémoire, la communication publique du gouvernement à l'époque de la prise de ces mesures était d'être de faire une politique de soutien du pouvoir d'achat... Ces statistiques valident les expressions et revendications syndicales que nous avons portées sans relâche.
Consultez notre dossier sur le covid-19
Pour endiguer l'épidémie de COVID-19 qui se répand dans le pays, la meilleure protection réside dans ce que les scientifiques appellent la "distanciation sociale" et dans les mesures et gestes barrières !
Le développement de l'épidémie s'accélère !
L'heure est à la solidarité et à la mise en protection !
Assez de confusion !
Ces 5 derniers jours, la crise sanitaire créée par le coronavirus s'est aggravée et la France a basculé dans une situation inédite !
La fermeture au public des écoles, des collèges, des lycées, des universités, des bibliothèques, des services doit aussi aboutir à des fonctionnements à effectifs les plus restreints possibles pour assurer la continuité de service nécessaire, rien de plus !
C'est simplement une question d'organisation pratique de la "distanciation sociale", incontournable pour faire reculer l'épidémie. C'est simplement le devoir de protection des personnels !
- Ce qui peut être organisé en télétravail doit l'être sans délai.
- Ce qui ne peut pas doit être réduit au strict nécessaire.
- Les collègues en autorisation spéciale d'absence pour garde d'enfants ne peuvent être sommés d'avoir en plus à organiser un télétravail.
L'intérêt général dicte donc de demander aux personnels dont la présence n'est pas requise pour des tâches immédiates et de première nécessité pour la continuité du service de rester chez eux !
Il s'agit là aussi d'un acte pratique de solidarité que de se protéger soi pour protéger les autres.
Pour les personnels dont la présence physique est requise sur le lieu de travail pour assurer la continuité de service minimale et nécessaire, il est impératif qu'ils bénéficient des conditions de protection et d'hygiène renforcées nécessaires (distances suffisantes entre les postes de travail, nécessaire de nettoyage des postes et outils de travail, gants, masques, gel hydroalcooliques, etc...)
Le SNASUB-FSU demande que les situations financières et sociales des personnels soient préservées tout le temps de l'épidémie et des mesures de confinement qui viennent d'être annoncées : pas de jour de carence appliqué en cas de maladie, pas de retenue sur salaire de quelque nature que ce soit, pas d'interruption, de non-renouvellement ou de fin de contrat pour les personnels non-titulaires...
La communication ministérielle a semé la confusion entre jeudi et dimanche après-midi. Le résultat est que ce lundi matin, services et établissements ont dû rattraper ce temps perdu en impréparation et en cafouillage !
Assez tergiversé !
Tout ce qui est hasardeux doit être stoppé sans délai ! Les effectifs doivent être réduits au juste nécessaire pour assurer la continuité immédiate de service et les missions soutenant l'investissement des personnels soignants ou la recherche sur le coronavirus.
- En cas de difficulté à faire valoir votre droit à vous protéger pour protéger les autres,
- en cas d'exigence zélée vous demandant de vous déplacer pour venir au travail sans motif immédiat de continuité du service,
- en cas de situation de travail ne respectant pas les conditions d'hygiène et de sécurité nécessaire,
prenez contact avec les représentant-es du SNASUB-FSU de votre section académique ou d'établissement, ou adressez un courrier électronique à : snasub.fsu@snasub.fr
Consultez notre dossier sur le covid-19
Sur le site du gouvernement est indiqué:
"17 mars 2020
Depuis janvier 2020, une épidémie de Coronavirus COVID-19 (ex 2019-nCoV) s’est propagée depuis la Chine. Retrouvez toutes les réponses officielles aux questions que vous vous posez sur ce qu’est le Coronavirus COVID-19 et les recommandations pour votre santé sur la plateforme : gouvernement.fr/info-coronavirus
Le 16 mars 2020, le Président de la République a décidé de prendre des mesures pour réduire les contacts et déplacements au strict minimum sur l’ensemble du territoire à compter du mardi 17 mars à 12h00, pour quinze jours minimum.
Des dérogations sur attestation seront possible dans le cadre de :
- déplacements entre le domicile et le lieu d’exercice de l’activité professionnelle, lorsqu’ils sont indispensables à l’exercice d’activités ne pouvant être organisées sous forme de télétravail (sur justificatif permanent) ou déplacements professionnels ne pouvant être différés ;
- déplacements pour effectuer des achats de première nécessité dans des établissements autorisés (liste sur gouvernement.fr) ;
- déplacements pour motif de santé ;
- déplacements pour motif familial impérieux, pour l’assistance aux personnes vulnérables ou la garde d’enfants ;
- déplacements brefs, à proximité du domicile, liés à l’activité physique individuelle des personnes, à l’exclusion de toute pratique sportive collective, et aux besoins des animaux de compagnie.
L'attestation de déplacement dérogatoire est téléchargeable ou peut être rédigée sur papier libre"
https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Attestation-de-deplacement-derogatoire
Le site de BFMTV indique: "Les Français sont finalement invités à dater puis signer le document. En ce qui concerne les contrevenants, le ministre de l'Intérieur a indiqué qu'ils s'exposaient sous peu à une contravention de 135 euros. À l'heure actuelle, elle est de 38 euros."
Télécharger le modèle d'attesation de déplacement dérogatoire
Consultez notre dossier sur le covid-19
Le SNASUB-FSU de Clermont-Ferrand vous informe :
Un grand nombre de personnels ATRT et TRF laboratoire des EPLE se posent des questions quand à leur présence dans leur établissements.
Nous vous rappelons que conformément aux directives présidentielles et ministérielles, il est demandé de rester chez soi. Un chef d'établissement ne peut vous obliger à venir sur votre lieu de travail.
Les personnels de laboratoire des EPLE ne sont pas réquisitionnables.
En restant chez vous, vous vous protégez et protégez les autres !!
A propos des mesures sur le coronavirus
2022 :
Circulaire relative au télétravail dans la fonction publique de l’Etat-2022-janvier
Circulaire sanitaire applicable aux établissements d’enseignement supérieur 29 décembre 2021
FAQ de la DGESIP 04 janvier 2022
Archives :
Pour connaître les dernières actualités, consultez le site national du SNASUB-FSU.
Les questions réponses de la DGAFP, mise à jour le 2 novembre
https://www.snasub-clermont.fr/accueil/covid-et-fonction-publique-questions-reponses
Circulaire du 29 octobre 2020 relative à la continuité du service public dans le contexte de dégradation de la situation sanitaire
https://www.legifrance.gouv.fr/download/file/pdf/cir_45072/CIRC
Attestations professionnelles novembre 2020 :
https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Attestations-de-deplacement
Reprise de septembre 2020 :
Covid-19 - Question/Réponses de la DGAFP
Le site de la FSU vous informe
https://fsu.fr/mesures-coronavirus/
Reprise du 11 mai 2020 :
Mémo réalisé par le SNASUB :
2020-05-11-BN-circulaire déconfinement
Documents ministériels :
- 2020 05 03 - plan de déconfinement du Ministère de l'enseignement supérieur
- protocole de déconfinement écoles maternelles et primaires
- protocole de déconfinement collèges lycées
CirculaireSanitaire29déc21 (002).pdf##### Mémo réalisé par le SNASUB sur vos droits et devoirs en cas de fermeture de vos services :
Vos droits et devoirs_Memo SNASUB-2020-03-13
Portail de documents sur la gestion de cette crise sanitaire (report d'examen, organisation des services, etc) du MESRI :
https://services.dgesip.fr/T712/covid_19 avec notamment une Foire Aux Questions.
Autres documents utiles :
Droit de retrait Covid 19 : éclairage d'un avocat
Nouvelle attestation de deplacement_23-03-2020
Note de la DGAFP sur les congés : Précise notamment le droit aux congés et RTT en cas d'ASA (autorisation spéciale d'absence) ou de télétravail. Attention, si vous avez posé des congés en avril, il faut demandé leur annulation ou ils seront décomptés.
Note-lecture-loi-2020-290-23-mars-2020.pdf : Analyse de la nouvelle loi par les juristes du SNASUB-FSU. Extrait : "Les conditions de contrôles très limitées du Parlement, l’état d’urgence sanitaire soulève de très graves questions, dont de nombreuses peuvent avoir des conséquences lourdes en matière de déréglementation du travail"
10 propositions du Comité Hygiène et Sécurité Ministériel_2020-03-26
Précisions sur les personnels de Labo
Déclaration du 17 mars 2020 du SNASUB-FSU aux adhérents
Communiqués intersyndicaux :
PRIMES, CONGÉS, RTT : LES SORTIES DE ROUTE GOUVERNEMENTALES
1920_066_courrier_MESRI_confinement_etudiants_crous.pdf : Courrier à Mme Vidal du 14/04/2020 en soutien aux étudiants confinés en Résidences Universitaires.
intersyndical pour le report de PARCOURSUP-2020-04-01
Communique_interasso_Le_Maire_dividendes_2020-04-01.pdf : Pas de dividendes pour les actionnaires en 2020 : le dire c’est bien, le faire c’est mieux.
Note du syndicat de la magistrature sur l'etat d'urgence sanitaire : le syndicat de la magistrature s'inquiète sur l'Etat d’urgence sanitaire qui "confère des pouvoirs exorbitants au Premier ministre et au ministre chargé de la santé et ouvre la possibilité de prendre des mesures individuelles sans les garanties reconnues en matière pénale".
Intersyndical_19mars20.pdf : demande de rééls moyens pour les hôpitaux et dénonce les projets de poursuite de la casse social (jour de carence maintenu, attaque contre les congés payés, etc)
Pour_Education_Nationale_et_Enseignement_superieur_19mars20.pdf : dénonce les défaillances des ministères pour accompagner les personnels et les élèves et parents d'élèves en cette période de crise sanitaire.
courrier_FSU_sur_situtation_des_ANT_18mars20.pdf : Courrier de demande de maintien des contractuels et paiement à 100%.
courrier PM-17 mars.pdf : courrier de demande de suspension du jour de carence pendant la crise sanitaire.
communique_intersyndical_16mars2020.pdf : Report mais pas abandon de la lutte contre la réforme des retraites et défense de la sécurité sociale.
Ce week end du 8 mars, nous étions plus de 150 000 dans toute la France à défiler dans les marches des grandes gagnantes à l’appel d’un collectif de 30 associations et syndicats féministes. 175 initiatives se sont tenues sur tout le territoire, rassemblant notamment 60 000 personnes à Paris, 20 000 à Toulouse, 10 000 à Lyon, 3000 à Rennes, 4000 à Montpellier, 2500 à Grenoble, 3000 à Bordeaux, 2000 à Marseille, 1200 à Nantes, 1000 à Nice et à Lille... Une même colère contre le 49-3 et le César de la honte, une même détermination à gagner la fin des violences sexistes et sexuelles et l’égalité, au travail comme dans la vie. C’est la première fois qu’un 8 mars en France atteint un tel niveau !
Nous tenons à dénoncer avec gravité les violences policières de la manifestation parisienne du 7 mars ou lors de celle à Nantes le 8 mars. Comment oser répondre par la violence à des femmes mobilisées contre les violences sexistes et sexuelles ?!
Partout dans le monde, les femmes se sont mobilisées et notamment au Chili, en Argentine, au Brésil, en Espagne, en Allemagne, au Soudan, au Liban…
Le message est clair : fini l’instrumentalisation des femmes, l’inaction des pouvoirs publics et la remise en cause de nos droits, à l’image de la réforme des retraites.
Prochain rendez-vous féministe et social le 31 mars. Nous serons aussi aux rendez-vous de la Marche Mondiale des Femmes, mobilisées et déterminées contre les violences faites aux femmes en novembre 2020, avant la grande grève féministe du 8 mars 2021 !
Le 5 mars, à l'appel d'un collectif national, associant syndicats et personnels et étudiants mobilisés dans différentes universités, sera organisée une journée "Universités mortes" pour informer et s'opposer au projet de loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR).
Son adoption signifierait un big bang de l'Enseignement supérieur, mettant à bas les garanties statutaires des enseignants, généralisant les recrutements en CDD, CDI ou par Tenure Track, concentrant les moyens sur les établissements ou laboratoires d'excellence.
Effets de la LPPR sur les BIATSS :
- Déjà fortement touchés par la précarité, les personnels ingénieurs, techniciens ou administratifs seraient les premiers visés par les CDI de chantier
- Inégalités accrus entre les managers aux pouvoirs et rémunérations qui explosent, et les précaires, avec disparition progressive des positions intermédiaires
- Désorganisation des équipes par les départs permanents (fin de contrat, démission, burn-out)
- Externalisation au privé, parfois à des filiales de l’université
- La cours des comptes demande que la LPPR augmente le temps de travail des Biatss de 9% en moyenne et qu’on contrôle plus leur congé
Tract intersyndical contre LPPR
Tract Paris 7 sur les BIATSS et la LPPR
Rendez-vous à partir de 10h à la faculté de Droit de Clermont-Fd pour une manifestation et des tables rondes d'information sur les projets de lois en cours.
Nouveaux Statuts de l’EEUCA
La FSU dit NON au nouvel établissement expérimental de l'Université Clermont Auvergne !
Lors du Comité technique, la FSU a dit:
- Non au fait de déroger à la règle à travers un établissement expérimental(Titre I);
- Non à un président du Conseil d'administration issu du monde socio-professionnel (Titre I, Chapitre II, Section I, Article 20);
- Non à la réduction du nombre de représentants Enseignants-Chercheurs au Conseil d'administration (Titre I, Chapitre II, SectionI, Article 20);
- Non aux modalités de désignation des directeurs des Instituts (Titre III, Chapitre I).
Extrait de l'appel unitaire :
"Le 8 mars, ensemble portons le mot d’ordre international de grève féministe. Le 8 mars, on arrête tout·e·s.
Pour exiger une égale répartition du travail domestique et de soin entre les femmes et les hommes.
Pour libérer les femmes du travail précaire et décalé auquel elles sont trop souvent assignées.
Pour en finir avec des modes de consommations sexistes et destructeurs de la planète.
Pour défendre le droit à l’avortement contre les attaques constantes dont il est l’objet, pour dénoncer la casse des services publics dont nous sommes les premières à faire les frais, pour dénoncer le refoulement en dehors de nos frontières des personnes exilées fuyant les guerres, la misère et le dérèglement climatique." _
Chanson d'Attac "A cause de Macron, grandes perdantes nous serons"
Nos organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, FAFP sont persuadées que cette mobilisation inédite et historique vaincra.
C’est dans ce contexte de mobilisation continue que nos organisations syndicales appellent l’ensemble agent-es à une nouvelle journée de convergence de grèves et de manifestations le 20 février.
Lors de ce CT, nous sommes notamment intervenus sur les points suivants à l'ordre du jour :
-Missions, droits et devoirs des enseignants
-Politique de cédéisation et d'évolution des rémunérations des CDI
-Traitement des absences temporaires des BIATSS
-Autorisation de cumul d'activités pour les Enseignants-Chercheurs
Extrait de l'appel intersyndical du 29/01/20 :
Une mobilisation historique par sa force et sa durée, le soutien sans faille de l’opinion publique, l’avis du Conseil d’État : le projet de réforme des retraites n’a jamais été si fragile. Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, MNL, UNL appellent l’ensemble du monde du travail et la jeunesse à poursuivre et à amplifier, dans tous les secteurs, la mobilisation dès maintenant et tout au long du débat parlementaire qui s’ouvre la semaine prochaine par des actions diversifiées : rassemblements, retraites aux flambeaux, dépôts d’outils symboliques des métiers, etc. Il n’y aura pas de trêve. Des actions de mobilisation sont déjà prévues la semaine prochaine. Le 5 février, les organisations soutiennent l’initiative de mobilisation des organisations de jeunesse et encouragent à construire des initiatives locales et diversifiées.
Elles appellent à faire du jeudi 6 février une nouvelle journée interprofessionnelle de grève et de manifestations à l’occasion du début des travaux de la commission spéciale de l’Assemblée Nationale. Elles appellent à interpeller les parlementaires. Elles mettent en perspective des actions de mobilisation notamment la semaine d’ouverture des travaux à l’Assemblée Nationale et tout au long des débats parlementaires. Elles décident de se réunir à nouveau le 6 février au soir.
Nous, enseignants-chercheurs, enseignants, personnels et étudiants de l’Université Clermont Auvergne, condamnons avec force la convocation au commissariat de police de cinq de nos collègues enseignants du secondaire, de deux étudiants de notre université et d’un lycéen dans le cadre d’une « infraction d’intrusion non autorisée dans un établissement d’enseignement ».
Nous encourageons chacun à signer la pétition de soutien : https://www.change.org/p/enseignant-e-s-lyc%C3%A9e-blaise-pascal-le-18-janvier-2020-moi-aussi-j-y-%C3%A9tais
Mercredi 29 janvier, veille de la conférence de financement, nous appelons à une journée massive de grève et de manifestations interprofessionnelles et intergénérationnelles !
On lâche rien !!!
L'intersyndicale appellent à plusieurs modes d'actions pour lutter contre les réformes actuelles (retraites, éducation, recherche, hopitaux) :
- Appel à déposer nos outils de travail devant des lieux symboliques et dans tous les territoires le mercredi 22 janvier à midi
- Appel à organiser dans toutes les villes des « Retraites aux flambeaux » ou autres initiatives le jeudi 23 janvier au soir.
- Appel à faire du vendredi 24 janvier, date du conseil des ministres qui devrait examiner le projet de loi, une journée massive de grève et de manifestation interprofessionnelle.
Toutes les initiatives sont bonnes pour lutter contre le mépris et l'obstination du gouvernement !
communique_intersyndicale-15-janvier2020.pdf
Contre ce simulacre de dialogue social, tous en grève le 14, 15 et 16 janvier 2020 !
Jusqu'au retrait du projet de loi sur la réforme des retraites !
Jusqu'à la victoire !
La lutte continue contre la réforme des retraites et contre le mépris du gouvernement :
Tous en grève le 9 janvier 2020 !
A Clermont-Fd, rendez-vous à 10h Place du 1er mai.
La nouvelle note de gestion des carrières des BIATSS vient de paraitre.
Vous y trouverez notamment les changements inclus par la loi de "transformation/destruction" de la Fonction Publique sur les mutations, promotions et avancements, après la quasi suppression des Commissions Administratives Paritaires.